Kandinsky Painting

terça-feira, 26 de fevereiro de 2013

Rimbaud e Jim Morrison: Os Poetas Rebeldes














































































































About Wallace Fowlie:

Wallace Fowlie (1908–1998) was an American writer and professor of literature. He was the James B. Duke Professor of French Literature at Duke University from 1964. Known for his translations of the poet Arthur Rimbaud and his critical studies of French poetry and drama, he also wrote about rock-poet Jim Morrison. Perhaps his most enduring legacy, however, is the product of six decades of teaching at universities in the United States, including Yale, Bennington, Holy Cross, U. Colorado-Boulder, and Duke. Devoted to teaching, particularly undergraduate courses in French, Italian, and modernist literature, Fowlie influenced several generations of American college students.
Fowlie received a John Simon Guggenheim Memorial Foundation fellowship in 1947.[1]
Fowlie corresponded with literary figures such as Henry Miller, René Char, Jean Cocteau, André Gide, Alexis Léger (Saint-John Perse), Marianne Moore, and Anaïs Nin.[2] His translations of Rimbaud were appreciated by a younger generation that included Jim Morrison and Patti Smith.[3] In 1990, Fowlie consulted with director Oliver Stone on the film The Doors.[2]

Works

  • Age of Surrealism (1950)
  • André Gide: His Life and Art (1965)
  • Aubade: A Teacher's Notebook (1983) ISBN 0-8223-0566-6
  • Characters from Proust: Poems (1983) ISBN 0-8071-1071-X
  • Claudel (Studies in Modern European Literature and Thought) (1957)
  • Climate of Violence: The French Literary Tradition from Baudelaire to the Present (1967)
  • Clowns And Angels: Studies In Modern French Literature (1943)
  • The Clown's Grail: A Study of Love in Its Literary Expression (1947)
  • De Villon à Péguy (Editions de l'Arbre, Montreal, 1944)
  • Dionysus in Paris: A Guide to Contemporary French Theater (1960)
  • Ernest Psichari (Ernest Green & Co., New York, Toronto, 1939)
  • From Chartered Land (William R Scott, New York, 1938)
  • Jean Cocteau: The History of a Poet's Age (1966)
  • Journal of Rehearsals: A Memoir (1997) ISBN 0-8223-1945-4
  • Intervalles (A. Magne, Paris, 1939, published under pen name Michel Wallace)
  • La Pureté dans l'Art (Editions de l'Arbre, Montreal, 1941)
  • Letters of Henry Miller and Wallace Fowlie (1975)
  • Mallarmé (Dennis Dobson, London; University of Chicago, Chicago, 1953)
  • Matines et Vers (Paris, 1936; published under pen name Michel Wallace)
  • Memory: A Fourth Memoir (1990) ISBN 0-8223-1045-7
  • Poem and Symbol: A Brief History of French Symbolism (1990) ISBN 0-271-00696-X
  • A Reading of Dante's Inferno (1981) ISBN 0-226-25888-2
  • Rimbaud: Complete Works, Selected Letters (1966) ISBN 0-226-71973-1. (Revised, 2005, ISBN 0-226-71977-4)
  • Rimbaud and Jim Morrison: The Rebel as Poet (1994) ISBN 0-8223-1442-8
  • Rimbaud's Illuminations, A Study in Angelism (1953)
  • Rimbaud, the Myth of Childhood (1946)
  • Sites: A Third Memoir (1986) ISBN 0-8223-0700-6
  • Stendhal (1969)
  • Charles Baudelaire Selected Poems from "Flowers of Evil" (1963) ISBN 0-486-28450-6








Cartas do Visionário e Mais Nove Poemas










































































About Lettres du Voyant:

Les « Lettres du voyant » sont le nom sous lequel l'histoire littéraire a pris l'habitude de désigner deux lettres écrites par Arthur Rimbaud en mai 1871, dans lesquelles il développe une critique radicale de la poésie occidentale depuis l'antiquité et défend l'émergence d'une nouvelle raison poétique.
La première (et la plus courte) de ces deux lettres fut écrite le 13 mai 1871 et adressée à Georges Izambard, l'ancien professeur de Rimbaud au collège de Charleville. Le fac-similé de cette lettre fut publié pour la première fois, à l'initiative de son destinataire, en octobre 1928 dans la Revue européenne. Elle contient le poème Le Cœur supplicié.
La seconde lettre dite « du voyant » fut adressée le 15 mai 1871 au poète Paul Demeny, à qui Rimbaud avait confié quelques mois plus tôt une copie de son œuvre poétique antérieure, en vue d'une publication. Son contenu fut révélé au public par Paterne Berrichon en octobre 1912 dans La Nouvelle Revue française. Elle contient les poèmes Chant de guerre parisien, Mes petites amoureuses et Accroupissements. C'est là qu'apparait également la formule, restée fameuse, « Je est un autre » ("Car Je est un autre. Si le cuivre s'éveille clairon, il n'y a rien de sa faute.")

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lettres_du_voyant )


About Voyelles:

Voyelles, est un sonnet en alexandrins d'Arthur Rimbaud écrit à Paris dans les premiers mois de 1872[1] et publié pour la première fois dans la revue Lutèce, le 5 octobre 1883. C'est un des plus célèbres poèmes de Rimbaud.

Historique

Il existe deux versions manuscrites anciennes du sonnet, une de la main de Rimbaud donnée à Émile Blémont et conservée au Musée Rimbaud de Charleville-Mézières et une autre recopiée de la main de Verlaine. Leur différence tient presque essentiellement dans la ponctuation[2]. C'est Verlaine qui publie pour la première fois le sonnet des Voyelles, dans le numéro du 5-12 octobre 1883 de la revue Lutèce.

Interprétations

De très nombreux auteurs ont développé des théories diverses sur les sources et la signification de ce poème qui est sans doute le plus commenté de tous ceux de Rimbaud. Partant de l'influence des abécédaires enfantins sous forme de cubes de couleur illustrés qu'à peut-être manipulé Rimbaud dans son enfance, passant par les visions qui s'imposent au voyant de l'Alchimie du Verbe et créent un nouveau symbolisme, ou allant jusqu'à des lectures ésotériques et occultistes alambiquées.
Jean-Jacques Lefrère fait remarquer que l'adjectif définissant telle couleur ne contient jamais la voyelle qui est censée l'évoquer. L'ordre de présentation des voyelle, A... E... I... U... O... inverse les deux dernières pour terminer sur O, l'oméga respectant dans le poème la progression de l'alpha à l'oméga.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Voyelles_(sonnet) )


About Les Poètes de Sept Ans:

Les Poètes de sept ans est un poème en alexandrins d'Arthur Rimbaud daté par lui du 26 mai 1871[1] et figurant dans la lettre qu'il adresse à Paul Demeny le 10 juin[2].

Présentation et contexte

Le poème comporte 64 vers alexandrins divisé en 6 paragraphes de longueur inégale : 4 - 12 - 14 - 13 - 11 et 10 vers. Il se présente comme une sorte d'étude biographique, écrite à l'imparfait et à la troisième personne. Le manuscrit du poème se trouve dans la lettre que Rimbaud envoie le 10 juin à Paul Demeny, poète et éditeur parisien. Dans cette lettre, le poète demande à Demeny de « brûler tous les vers qu['il] fu[t] assez sot pour [lui] donner » précédemment. De cette manière Rimbaud voulait-il ouvrir une nouvelle période de sa vie de poète, optant pour un nouveau style, plus personnel, incisif et radical ?. Suivant cette option, Les Poètes de sept ans serait un poème de transition important dans son œuvre. La période de sa rédaction correspond aux semaines qui suivent la fin de la Commune de Paris, il suit les deux Lettres du voyant des 13 et 15 mai et précède de peu le manifeste poétique qu'est le sonnet Voyelles et le chef-d'œuvre qu'est Le Bateau ivre.

Mise en musique

Le poème a été mis en chanson par Léo Ferré en 1964 dans son album Verlaine et Rimbaud.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Po%C3%A8tes_de_sept_ans )


About Les Remembrances du Vieillard Idiot:

Les Remembrances du vieillard idiot est un poème d’Arthur Rimbaud, intégré dans l’Album zutique, recueil constitué en 1871 et 1872 par plusieurs poètes, notamment Verlaine, Rimbaud, Léon Valade, Jean Richepin et quelques autres moins connus.
Les textes ainsi réunis (lire sur wikisource) sont pour la plupart des parodies de poètes contemporains, parfois intentionnellement tournés en ridicule, parfois imités avec talent et adresse.
Les Remembrances du vieillard idiot appartiennent à la première catégorie. Le poème, qui comporte 40 alexandrins souvent désarticulés de façon caricaturale, est fictivement signé du nom de François Coppée, suivi des initiales, A.R., de son véritable auteur.
Dans la forme à la fois prosaïque et fortement rythmée de François Coppée, le poème évoque les souvenirs (c’est le sens du nom archaïque remembrances) érotiques de l’enfance du « vieillard idiot » : avec une certaine crudité lexicale, il énumère quelques aspects des premiers émois sexuels d’un jeune villageois, à qui on peut, sans doute imprudemment, être tenté de trouver quelques points communs avec le jeune Rimbaud.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Remembrances_du_vieillard_idiot_(Rimbaud) )


More Info (& Related): http://www.ocomuneiro.com/angelonovo/cartasvisionario.html - http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Bateau_ivre - http://fr.wikipedia.org/wiki/Ma_Boh%C3%A8me




Rimbaud (by Yves Bonnefoy)














































































































About Yves Bonnefoy:

Yves Bonnefoy (born 24 June 1923) is a French poet and essayist. Bonnefoy was born in Tours, Indre-et-Loire, the son of a railroad worker and a teacher. His works have been of great importance in post-war French literature, at the same time poetic and theoretical, examining the meaning of the spoken and written word. He has also published a number of translations, most notably Shakespeare and published several works on art and art history, including Miró and Giacometti.

Biography

He studied mathematics and philosophy at the Universities of Poitiers and the Sorbonne university in Paris. After the Second World War he travelled in Europe and the United States and studied art history. From 1945 to 1947 he was associated with the Surrealists in Paris (a short-lived influence that is at its strongest in his first published work, Traité du pianiste (1946)). But it was with the highly personal Du mouvement et de l'immobilité de Douve (1953) that Bonnefoy found his voice and that his name first came to public notice. Bonnefoy's style is remarkable for the deceptive simplicity of its vocabulary.
Starkness of expression is combined with a deeply-ingrained sensuality and a longing for an (unattainable) 'other place', which comes to define human experience. Bonnefoy's work has been translated into English by, among others, Emily Grosholz, Galway Kinnell, John Naughton, Alan Baker, Hoyt Rogers, Antony Rudolf and Richard Stamelmann. In 1967 he joined with André du Bouchet, Gaëtan Picon, and Louis-René des Forêts to found L'éphémère, a journal of art and literature. Although it is his poetry that has made him a prominent figure in 20th century world literature, he has written a great number of essays on art in general and pictorial art in particular. In this regard, L'Arrière-Pays ('The Hinterland', or 'The Land Beyond', 1972) occupies a pivotal place in his work.
He has taught literature at a number of universities in Europe and in the USA (Brandeis University, Waltham, Massachusetts (1962–64), Centre Universitaire, Vincennes (1969–1970), Johns Hopkins University, Baltimore, Princeton University, New Jersey; Yale University, New Haven, Connecticut, University of Geneva, University of Nice (1973–1976), University of Provence, Aix (1979–1981) and Graduate School, City University of New York (from 1986)), where he was made an honorary member of the Academy of the Humanities and Sciences. In 1981, following the death of Roland Barthes, he was given the chair of comparative study of poetry at the Collège de France. He has been awarded a number of prizes throughout his creative life, most notably the Prix des Critiques in 1971, the Balzan Prize (for Art History and Art Criticism in Europe), the Prix mondial Cino Del Duca in 1995, Grand Prize of the First Masaoka Shiki International Haiku Awards in 2000 and Franz Kafka Prize in 2007. His name is regularly mentioned among the prime favourites for the Nobel Prize. In 2011, he received the Griffin Lifetime Recognition Award, presented by the trustees of the Griffin Poetry Prize.[1]

Works

Essays
  • Peintures murales de la France gothique (1954)
  • Dessin, couleur, lumière (1995)
  • L'Improbable (1959)
  • Arthur Rimbaud (1961)
  • La Seconde Simplicité (1961)
  • Un rêve fait à Mantoue (1967)
  • Rome, 1630 : l'horizon du premier baroque (1970), prix des Critiques 1971
  • L'Ordalie (1975)
  • Le Nuage rouge (1977)
  • Trois remarques sur la couleur (1977)
  • L'Improbable, suivi de Un rêve fait à Mantoue (1980)
  • La Présence et l'image (leçon inaugurale au Collège de France) (1983)
  • La Vérité sur Parole (1988)
  • Sur un sculpteur et des peintres (1989)
  • Entretiens sur la poésie (1972–1990)
  • Aléchinsky, les Traversées (1992)
  • Remarques sur le dessin (1993)
  • Palézieux (1994), avec Florian Rodari
  • La Vérité de parole (1995)
  • Dessin, couleur et lumière (1999)
  • La Journée d'Alexandre Hollan (1995)
  • Théâtre et poésie : Shakespeare et Yeats (1998)
  • Lieux et destins de l'image (1999)
  • La Communauté des traducteurs (2000)
  • Baudelaire : la tentation de l’oubli (2000)
  • L'Enseignement et l'exemple de Leopardi (2001)
  • André Breton à l'avant de soi (2001)
  • Poésie et architecture (2001)
  • Sous l'horizon du langage (2002)
  • Remarques sur le regard (2002)
  • La Hantise du ptyx (2003)
  • Le Poète et « le flot mouvant des multitudes » (2003)
  • Le Nom du roi d'Asiné (2003)
  • L'Arbre au-delà des images, Alexandre Holan (2003)
  • Goya, Baudelaire et la poésie, entretiens avec Jean Starobinski (2004)
  • Feuilée, avec Gérard Titus-Carmel (2004)
  • Le Sommeil de personne (2004)
  • Assentiments et partages, exposition du Musée des Beaux-Arts de Tours (2004)
  • Shakespeare & the French Poet (University of Chicago Press, Chicago, 2004)
  • L'Imaginaire métaphysique (2006)
  • Goya, les peintures noires, Ed. William Blake And Co, (2006)
  • Ce qui alarma Paul Celan, Galilée, (2007)
  • La Poésie à voix haute, La Ligne d'ombre (2007) ISBN 978-2-9528603-0-7
  • Pensées d'étoffe ou d'argile, Coll. Carnets, L'Herne, (2010)
  • Genève, 1993, Coll. Carnets, L'Herne, (2010)







Yves Bonnefoy (Collège de France, 2004)